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Je me retrouvais au bord de la forêt de pins, enivrée par cette odeur si réconfortante de sève et d’iode. Le sol sablonneux recouverts d’épines de pins crissait sous mes pas, et chaque souffle d’air semblait me murmurer un secret ancien. Ce n’était pas un simple lieu, c’était une promesse d’immersion, une invitation à ressentir.
Ce matin-là, je n’étais pas une touriste. J’étais une invitée. Une participante. Une exploratrice sensorielle.
Le tourisme expérientiel, c’est cela : vivre un territoire plutôt que le visiter. C’est entrer en relation, avec les lieux, les gens, les savoir-faire. C’est se laisser transformer par ce que l’on découvre.
Elise, une si douce sorcière
J’avais Rendez-vous avec Elise dans la clairière toute proche. Elise est cueilleuse de plantes sauvages. Elle m’a appris à reconnaître l’achillée, le millepertuis, et à écouter le bruissement des feuilles comme on écoute une histoire.
Son savoir n’était pas dans les livres, mais dans ses gestes, ses silences, ses anecdotes. En quelques heures, j’ai appris plus sur la forêt que durant des années de randonnées. J’ai eu la sensation de devenir une de ces guérisseuses médiévales, qui utilisaient leurs connaissances pour soigner en secret, celles qu’on appelait des sorcières…
Et chez Elise, c’est un doux mélange d’odeurs végétales et de joli bazar, avec des flacons de toutes les couleurs contenant des huiles végétales aromatiques, des hydrolats. Des fleurs en train de sécher ajoutent des touches plus vives à cet endroit si chaleureux, sans chichis, et si bien organisé malgré la première impression.
Michel, la parenthèse salée
Après avoir quitté Élise et ses plantes aux mille vertus, je longeais les sentiers côtiers, guidée par le chant des goélands et l’odeur saline qui s’intensifiait à chaque pas. Le paysage changeait : les pins cédaient la place aux cabanes en bois, aux filets suspendus, aux bassins miroitants. C’est là que j’ai rencontré Michel.
Michel est ostréiculteur depuis trois générations. Sa peau burinée raconte les marées, ses mains parlent le langage des cordes et des casiers.
Il m’a proposé de monter à bord de son bateau pour l’aider à récolter les huîtres. Pas comme une touriste curieuse, mais comme une apprentie du vivant, une invitée dans son quotidien.
Le moteur ronronnait doucement. L’eau était calme, presque complice. Michel m’a montré comment repérer les poches, les soulever, les rincer. Chaque geste avait son rythme, sa mémoire. Les huîtres, elles, semblaient dormir, bercées par l’eau et le sel.
J’ai appris à quel point elles étaient robustes, contre vents et marées, mais aussi si fragiles et sensibles à la pollution, à l’environnement. J’ai vu le soin de Michel pour ses huîtres, avec pour seul objectif de faire plaisir aux clients de sa cabane, ce soir. J’ai hâte d’apprendre à les ouvrir, et d’en savoir plus sur la manière de les déguster.
Isabelle, les mains dans la terre, le cœur dans la tradition
Après la mer et ses éclats salés, je reprenais la route vers l’intérieur des terres. Le paysage changeait encore : les dunes laissaient place aux collines, aux villages aux volets bleus, aux ateliers cachés derrière des glycines. C’est là que j’ai rencontré Isabelle.
Isabelle est potière. Elle perpétue un savoir-faire ancestral : celui de la vaisselle en terre cuite et en céramique, façonnée à la main, cuite dans des fours traditionnels, décorée avec patience et passion.
Son atelier sentait la terre humide et le feu. Les étagères croulaient sous les bols, les assiettes, les pichets aux motifs délicats. Isabelle m’a tendu une boule d’argile tiède. “Tu vas sentir la matière vivre entre tes doigts”, m’a-t-elle dit.
Sous ses conseils, j’ai appris à centrer la terre, à laisser mes mains guider le mouvement, à accepter l’imperfection comme une signature. Chaque geste était une leçon de patience, de respect, de lien avec les éléments.
Isabelle m’a parlé de ses recherches sur les pigments naturels, de ses collaborations avec des archéologues, de sa volonté de transmettre aux jeunes.
Elle ne fabrique pas seulement des objets : elle raconte une histoire, celled’un territoire, d’un artisanat, d’une mémoire vivante
Conclusion – Le voyage comme transformation
De la forêt aux marées, de l’argile aux confidences, chaque rencontre m’a transformée. Ce n’était pas un itinéraire, c’était une initiation. Une manière de voyager qui ne cherche pas à collectionner les lieux, mais à tisser des liens.
Le tourisme expérientiel nous invite à changer de posture : à devenir acteur, à écouter, à apprendre, à ressentir.
Il nous rappelle que derrière chaque paysage, il y a une main qui façonne, une voix qui transmet, un cœur qui bat.
Dans un monde en quête de sens, ces expériences sont plus qu’un souvenir : elles sont une trace vivante, une empreinte partagée, une histoire que l’on emporte avec soi.
Et si le vrai luxe du voyage, c’était simplement… d’être là ?
Et si vous apportiez une nouvelle manière de voyager ?
Dans un monde saturé d’images et de circuits standardisés, le tourisme expérientiel offre une respiration. Il répond à une quête de sens, de lien, d’authenticité.
Il invite à ralentir, à s’émerveiller, à apprendre.
Et vous, avez-vous envie de permettre aux visiteurs de façonner leur propre pain dans votre four à bois, de leur apprendre à chanter avec une chorale occitane, ou de partager votre couche sommaire sous les étoiles après avoir aidé appris à vos visiteurs comment assurer la transhumance ?
Touriseo vous accompagne dans l’élaboration de votre offre, en transformant votre offre en souvenirs.

Alors que la saison estivale 2025 touche à sa fin, le bilan dressé par Atout France et ses partenaires confirme la solidité du secteur touristique français, malgré un contexte économique et climatique exigeant. Ce bilan met en lumière une double dynamique : celle d’une attractivité internationale renforcée, et celle d’un tourisme domestique en mutation, marqué par des arbitrages budgétaires et des pratiques plus adaptatives.
Avec 37,3 milliards d’euros de recettes internationales au premier semestre (+13,7 % par rapport à 2024), la France confirme sa place de leader mondial du tourisme. Cette dynamique est portée par les clientèles européennes (Allemagne +25,1 % de dépenses, Pays-Bas +17,6 %), mais aussi plus lointaines provenant notamment des Etats-Unis, du Japon qui restent fidèles et sont celles qui dépensent le plus sur place.
Le secteur du tourisme continue de contribuer positivement à la balance des paiements, la balance commerciale du secteur s’établit ainsi à +11,8 Md€ sur la période (contre 8.5 Md€ en 2024, soit une hausse de 14,9 %), confirmant son rôle stratégique pour l’économie française.
Les français restent fidèles à leurs territoire de Métropole ou d’Outre-mer, mais sont plus prudents sur leurs dépenses :
- 25 % ont réduit la durée de leur séjour,
- 33 % ont changé de destination, souvent pour des raisons économiques,
- 20 % ont diminué leur budget, ciblant principalement la restauration et les achats.
La dépense moyenne s’élève à 85 €/jour, mais la médiane chute à 58 €, révélant un resserrement des budgets.
Les aléas climatiques (vagues de chaleur, pluies intenses, incendies) ont modifié les flux touristiques, favorisant les réservations de dernière minute et les destinations moins exposées (Bretagne, Normandie, montagne). Le climat devient un critère déterminant dans le choix des séjours, imposant aux territoires une adaptation rapide de leur offre.
L’hôtellerie de plein air tire son épingle du jeu, avec une hausse de fréquentation de plus de 2 % chez les Français, confirmant l’attrait pour des formes de tourisme plus accessibles et proches de la nature.
L’arrière-saison s’annonce prometteuse :
- +7,7 % d’arrivées aériennes prévues entre septembre et novembre,
- +4 % de réservations locatives en septembre, +12 % en octobre,
- 44 % des Français envisagent un séjour entre septembre et novembre, mais seuls 20 % ont déjà réservé.
Les villes apparaissent comme les destinations les plus dynamiques, portées par le retour du tourisme d’affaires.
Le bilan confirme les choix de la clientèle, notamment domestique, vers les offres touristiques plus inclusives et plus résilientes :
- Accessibilité pour tous les publics (familles précaires, personnes en situation de handicap),
- Transition écologique (itinérance douce, adaptation climatique),
- Accueil individualisé et responsable des clientèles, pour une approche plus respectueuse des territoires..
Le tourisme français démontre sa résilience et sa capacité d’adaptation, tout en ouvrant la voie à une offre plus durable, inclusive et innovante.
Plus que de nombreux secteurs, ceux du Tourisme doivent s’adapter à des évolutions et des contraintes exogènes, les métiers et les compétences attendues changent. Touriséo vous accompagne dans vos projets.

Les français choisissent la France pour leurs vacances selon Airbnb et Booking en 2025, mais ils consomment moins au restaurant. À cela, plusieurs raison. Il est bien sûr question de pouvoir d’achat. Hausse des matières premières, de la fiscalité et du coût du travail, la France tend-elle a devenir un musée pour la clientèle étrangère ?
Premier écart : Le budget vacances des français a augmenté de 10% en cinq ans et le prix de la restauration a augmenté de 27% sur la même période. Mais pas seulement. Selon Stéphane Manigold, directeur du groupe Éclore, la faute « aux restaurateurs qui n’en sont pas ». Le consommateur compare ce qu’il paie au prix fort lorsqu’il va au restaurant et ce qu’il peut avoir chez lui, avec des produits de qualité, pour en moyenne 8 fois moins cher. La restauration hors domicile est donc la première coupe dans le budget des vacanciers.
Au-delà de la perte de confiance des clients envers les restaurateurs (qui aime avoir l’impression d’être « pigeonné »?), on peut se demander si, à terme, ce n est pas l’image de la gastronomie française auprès des touristes étrangers qui est impactée par la médiocrité de ce qui est parfois servi par des professionnels du micro-ondes.
J’avoue que j’ai toujours un pincement au cœur lorsque je vois un camion de fournisseur de plats préparés devant un restaurant dit « traditionnel ». Quelle est la valeur ajoutée pour les clients, entre produits trop sales, trop gras, trop sucrés (tiens, cela me rappelle quelque chose), sensation d’une dépense non satisfaisante ? Comment se satisfaire d’une mousse au chocolat industrielle payée au prix fort ? Quelle est la valeur ajoutée pour le terroir, ses éleveurs, ses maraîchers, ses arboriculteurs, qui luttent pour maintenir une production de qualité ?
Sans pour autant ajouter à une réglementation des métiers déjà indigeste, les restaurateurs, les vrais, ont tout intérêt à faire le ménage dans ce métier afin de lui rendre toutes ses lettres de noblesse, et pour que l’arbitrage des vacanciers dans leur budget soit en faveur du plaisir, du moment, de la magie d’un dîner qu’on ne peut pas retrouver chez soi.
En parallèle, chaque porteur de projet doit prendre en compte le marché, les attentes de la clientèle de prestations au prix juste. Le concept, la qualité, la créativité, autant d’éléments qui sont un bon début. Pour le reste (les coûts de revient, le modèle économique, la stratégie, .. ), nous sommes là pour vous aider avec professionnalisme et gourmandise 😉.

Je n’ai pas vu les dauphins…
Alors oui, la frustration est là. Mais j’ai plutôt envie de dire : Youpi (ok, c’est un terme de boomer, j’assume), je n’ai pas vu les dauphins !!!
Pourquoi, alors que j’ai payé pour cela ?
Parce que j’ai choisi une sortie en bateau responsable, respectueuse de ces mammifères marins qui nous font rêver depuis l’enfance.
Même s’il a fallu gérer la déception de mes jeunes adultes, la leçon est là.
Les 24 dauphins qui vivent dans la baie de Setúbal sont LIBRES, et ils doivent le rester. Nous ne pouvons les observer que s’ils le veulent bien et sans les déranger : 3 professionnels du tourisme agréés sur place uniquement, 2 sorties par jour au maximum pour chacun, 20 minutes maximum sur place et respect de 30 mètres à distance des mammifères. On est loin des « bus maritimes » qui vous permettent de transmettre vos germes à cette faune sauvage, au risque de la contaminer ou de la blesser.
Donc, la sortie en bateau nous a permis de découvrir la baie de Setúbal, le lagon, les grottes marines, les plus belles plages d’Europe inaccessibles en voiture, et en prime un mémorable coup de soleil. Accompagnés par Vitor et Fernando, nous avons profité de leur humour, leur bienveillance et leur passion pour ce territoire incroyable, au sein du parc naturel d’Arrábida.
Pour les dauphins, on reviendra, car le prestataire offre un retour gratuit pendant 1 an aux touristes déçus. La famille de cétacés a bien le droit de partir en vacances, elle-aussi : ils ont même été aperçus 60 km au sud, ce jour-là, au large de Sines, magnifique ville de l’Alentejo.
Alors, nous nous contenterons de continuer à rêver et à respecter leur liberté. Pour que leur famille s’agrandisse 😉.

Entre les pannes d’électricité à l’aéroport d’Heathrow, qui paralysent les trajets aériens depuis quelques jours, la grogne des consommateurs contre les pratiques commerciales abusives des compagnies aériennes low costs, les dynamiques géopolitiques incertaines, et les alertes orange au vent violent, on se dit que prendre l’air est plus que jamais nécessaire, mais où ?
Pas de panique, vous allez pouvoir vous mettre au vert sans prendre l’avion, et cela va vous permettre de survivre à ces quelques semaines qui nous séparent des vacances d’été !
Le site Green Go a réalisé un TOP 10 des destinations françaises les préférées des touristes pour des séjours responsables. (Si on élargit au TOP 50, on constate que la Région Occitanie place 10 départements dans le TOP 50)
Dans le top 10, on trouve :
- Ardèche
- Morbihan
- Finistère
- Drôme
- Dordogne
- Hérault
- Haute-Savoie
- Gironde
- Ille-et-Vilaine
- Pyrénées-Atlantiques
Les préférences vont vers 1. La campagne et 2. Le littoral. Du calme et de la vitamine D, finalement, rien d’extraordinaire mais tout pour reprendre des forces et de l’énergie : écouter le bruit du vent et des vagues, reposer ses yeux sur des couleurs minérales, le vert des arbres, le bleu du ciel et de l’eau, aiguiser ses sens et redonner du sens en prenant du temps pour soi, découvrir la gastronomie et l’artisanat local, booster sa culture générale en découvrant l’histoire de ces lieux.
Nous vous invitons à remonter le temps au théâtre romain d’Orange ou sur le site antique de Vaison-la-Romaine, à découvrir l’histoire des Ducs de Savoie et à transpirer sur le tracé du Trail du Bélier de La Clusaz, à faire le plein d’iode au pied du phare de Saint Mathieu et à ressentir la nostalgie des marins bretons sur la place de l’Enfer à Douarnenez, à respirer en montgolfière pour se sentir minuscule dans les gorges de l’Ardèche.
Avant de partir, choisissez des hébergements responsables, anticipez les réservations d’activités et prévoyez dans votre planning une plage « NE RIEN FAIRE » !
Prenez soin de vous et des autres.

Le tourisme local n’est pas qu’une tendance passagère, il s’agit d’une réelle transformation de notre manière de voyager et par extension de consommer. Avec l’évolution des attentes des voyageurs, investir dans le tourisme local est indispensable pour les professionnels du secteur afin de répondre à divers objectifs.
1. Répondre aux attentes
Les voyageurs d’aujourd’hui cherchent des expériences authentiques et responsables. Selon une étude Accor, 75 % des Français considèrent que la durabilité est un critère clé dans le choix de leur séjour. Cette tendance inclut un intérêt croissant pour :
- Les expériences de proximité (culture locale, traditions, terroir…)
- Le respect de l’environnement
2. Booster l’économie locale
Le tourisme est un moteur économique puissant pour les territoires. En investissant dans ce secteur, en tant que professionnel vous :
- Soutenez les acteurs locaux (producteurs, artisans…)
- Créez des partenariats stratégiques pour proposer des expériences uniques
3. Anticiper les attentes écologiques et réglementaires
Les réglementations environnementales se durcissent et les voyageurs sont de plus en plus sensibilisés aux enjeux climatiques. En mettant en avant le tourisme local, vous allez :
- Participer à limiter l’empreinte carbone
- Adopter des pratiques durables et sensibiliser les clients à des gestes simples
4. Se différencier
- Renforcer votre attractivité
- Communiquer sur vos engagements (partager des publications sur vos efforts pour séduire une clientèle en quête de sens)
Comment bien débuter ?
- Créer des partenariats locaux : identifiez les acteurs-clés de votre territoire et prenez contact avec eux
- Intégrer des pratiques écoresponsables : limitez l’utilisation de plastique, proposez des activités à faible émission basées sur la nature et indiquez les moyens de transports les moins polluants permettant de vous rejoindre
- Former vos équipes : sensibilisez vos collaborateurs aux enjeux du tourisme durable
Le tourisme local reste une opportunité de créer de la valeur. Investir dans cette dynamique permet de s’inscrire durablement dans un marché en mutation tout en répondant aux attentes des voyageurs.
Lancement du tout nouveau projet by CRÉACT’UP : Touriseo !
Un projet pour répondre aux enjeux de demain, vous guider, conseiller et permettre à chacun de trouver sa place et d’être créateur de concepts et d’émotions.
Touriseo, c’est former et accompagner les structures du secteur vers un tourisme durable, pour vous aider à pérenniser votre activité et à vous démarquer dans ce domaine.
Agriculteur, porteur de projet ou gérant d’une structure touristique… Le tout c’est d’être passionné et engagé !

Tourisme expérientiel : quand le voyage devient une histoire vécue
Je me retrouvais au bord de la forêt de pins, enivrée par cette odeur si réconfortante de sève et d’iode. Le sol sablonneux recouverts d’épines

Tourisme estival 2025 : entre résilience, arbitrages budgétaires et attractivité internationale
Alors que la saison estivale 2025 touche à sa fin, le bilan dressé par Atout France et ses partenaires confirme la solidité du secteur touristique français, malgré un contexte économique et climatique exigeant. Ce bilan met en lumière une double dynamique : celle d’une attractivité internationale renforcée, et celle d’un tourisme domestique en mutation, marqué par des arbitrages budgétaires et des pratiques plus adaptatives.

La restauration, perdante de la saison 2025
Les français choisissent la France pour leurs vacances selon Airbnb et Booking en 2025, mais ils consomment moins au restaurant. À cela, plusieurs raison. Il est bien sûr question de pouvoir d’achat. Hausse des matières premières, de la fiscalité et du coût du travail, la France tend-elle a devenir un musée pour la clientèle étrangère ?

A LA RECHERCHE DES DAUPHINS PERDUS
Je n’ai pas vu les dauphins…
Alors oui, la frustration est là. Mais j’ai plutôt envie de dire : Youpi (ok, c’est un terme de boomer, j’assume), je n’ai pas vu les dauphins !!!
Pourquoi, alors que j’ai payé pour cela ?

Le printemps est arrivé et il fait la tête…
Entre les pannes d’électricité à l’aéroport d’Heathrow, qui paralysent les trajets aériens depuis quelques jours, la grogne des consommateurs contre les pratiques commerciales abusives des compagnies aériennes low costs, les dynamiques géopolitiques incertaines, et les alertes orange au vent violent, on se dit que prendre l’air est plus que jamais nécessaire, mais où ?
Pas de panique, vous allez pouvoir vous mettre au vert sans prendre l’avion, et cela va vous permettre de survivre à ces quelques semaines qui nous séparent des vacances d’été !

Quel est l’intérêt d’investir dans le tourisme local en tant que professionnel du tourisme ?
Le tourisme local n’est pas qu’une tendance passagère, il s’agit d’une réelle transformation de notre manière de voyager et par extension de consommer. Avec l’évolution des attentes des voyageurs, investir dans le tourisme local est indispensable pour les professionnels du secteur afin de répondre à divers objectifs…